On en trouve dans plus de 6 000 produits, souvent des sodas étiquetés comme « light » (« allégés »).
L’aspartame vient pourtant d’être reconnu comme « cancérogène possible » par l’OMS, après des années de débats autour de sa dangerosité pour la santé humaine. Concrètement, cela signifie que le niveau de preuves scientifiques n’est, pour le moment, pas suffisant pour qualifier définitivement l’aspartame d’agent cancérogène, mais que des signaux sérieux existent.
Découvert par hasard en 1965 et mis sur le marché moins de dix ans plus tard, cet édulcorant, au pouvoir sucrant 200 fois plus élevé que le sucre pour une valeur énergétique similaire, promettait de réduire, sans danger, la quantité de saccharose consommée.
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